Mirapex

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Parkinsons drogues envoie patients sur orgie de jeu, le shopping et W5 sexe Personnel Publié le Samedi, 24 Avril, 2010 18:59 HAE crampes Constant, tremblements indésirables, une douleur atroce, et troubles de l'élocution: ce sont les symptômes insupportables beaucoup de ceux qui vivent avec la maladie de Parkinson supporter - une maladie débilitante du cerveau qui touche environ 100 000 Canadiens. L'un d'eux est Raymond Harrison. Le 48-year-old ancien enregistreur de Clearwater, Colombie-Britannique, avait été diagnostiqué avec Parkinsons alors que dans une trentaine d'années. En 1999, après avoir subi l'aggravation des conditions, Harrison a décidé d'essayer un nouveau médicament, appelé Mirapex, récemment approuvé au Canada. Le médicament a été recommandé par son médecin et a promis Harrison une vie meilleure, sans tremblements et de la douleur. imite Mirapex les effets de la dopamine - un produit chimique manquant dans le cerveau des patients atteints de Parkinson - et aide les patients à reprendre le contrôle de leurs mouvements. Harrison, un mari et père, est l'un des milliers de patients canadiens Parkinsons prescrits Mirapex - ou l'une de ses versions génériques contenant pramipexole. Pour Harrison, Mirapex a tenu la promesse d'une meilleure santé, le laisser continuer à pêcher et jouer au baseball avec ses quatre fils actifs. Au lieu de cela, Harrison est entré dans un monde très sombre et destructrice du jeu et de sexe dépendances qui lui donnait envie de mettre fin à sa vie quelques mois seulement après la première prise Mirapex. Sa femme, Jerrie Wilkie, a été parmi les premiers à remarquer les changements de son mari. dit Wilkie. Harrisons jeu a empiré. Il est rapidement passé des billets de loterie à passer des heures dans les casinos et les jeux en ligne, la perte d'un total de 200.000. Mais Harrisons comportement compulsif na pas arrêter avec le jeu et les jeux de hasard. Peu après, il a commencé à prendre Mirapex, Harrison est également devenu accro à la pornographie. Il a accumulé des centaines de dollars en frais chaque mois commande la pornographie pay-per-view sur la télévision par satellite. ajouté Harrison. absences de fin de nuit, les dettes de jeu, et les factures de télévision porno coûteux tout conduit à de nombreux combats entre Harrison et sa femme, qui essayait de bloquer les chaînes de télévision pornographiques. Regarder sa spirale de la vie à la baisse Harrison envisagé le suicide. dit Harrison. Puis, après presque sept ans de prendre Mirapex quotidienne, Harrison a décidé de son propre chef - ne sachant pas qu'il était la racine de ses comportements compulsifs - de cesser de prendre le médicament. Il en avait assez de Mirapex. Bien que personne ne lui a dit, Harrison soupçonné la drogue a été à l'origine des changements radicaux dans son comportement. il a dit. Harrison a quitté la dinde froide en 2006 - près d'un an avant d'apprendre que d'autres avaient relié Mirapex avec des troubles du contrôle des impulsions. Pendant le retrait, il dit qu'il souffrait de douleurs et des éruptions cutanées sans relâche pendant presque un an. A la fin, sa famille dit Harrison est finalement revenu à l'homme qu'il était avant de prendre Mirapex. dit Wilkie. Harrison n'a jamais été informé par son médecin, la société pharmaceutique, ou à Santé Canada qu'il y avait des problèmes avec le Mirapex. Seulement après que sa femme a lu un article de magazine fait le couple faire le lien entre Mirapex et Harrisons radicalement et soudain changement de comportement. Enfin sa famille qui souffre depuis longtemps a commencé à comprendre ce qui était derrière Harrisons comportement compulsif. dit Wilkie. Aux États-Unis, des centaines d'utilisateurs Mirapex ont poursuivi Boehringer Ingelheim, le fabricant de médicaments, pour ne pas correctement avertir les patients sur les médicaments d'effets secondaires nocifs. Dans le premier cas pour le procès, à Minneapolis, Minnesota, le jury a décerné Gary Charbonneau, le demandeur, de 8,2 millions en Juillet 2008, et a trouvé la société pharmaceutique a été négligent de ne pas avertir les patients sur le jeu pathologique. Depuis lors, la société pharmaceutique a réglé hors cour avec près de 300 cents patients américains Mirapex, également représentés par le même cabinet d'avocats Minneapolis. Auparavant, les résultats cliniques secrets d'essai ont été présentés dans le cadre de la preuve au procès Charbonneau c. Boehringer Ingelheim montrant que la société pharmaceutique savait dès 1995 que Mirapex peut provoquer un comportement compulsif. Alors que la compagnie a réglé avec les patients Mirapex aux États-Unis, il n'y a pas eu un tel règlement au Canada. Question de W5 à propos de l'absence d'indemnisation pour les patients canadiens, Boehringer Ingelheim a refusé une interview de répondre que l'entreprise Dans un communiqué envoyé à W5 via e-mail, la société a insisté sur le fait que, la réponse des fabricants de médicaments a provoqué la colère de ceux qui, comme Raymond Harrison, ont perdu des centaines de milliers de dollars au jeu compulsif et de shopping et de sexe addictions - ainsi que leur dignité. D'autres ont souffert encore plus, après avoir regardé leurs mariages et les familles se séparent. Harrison poursuit Boehringer Ingelheim, et est impliqué dans un procès d'action de classe. Selon les avocats du cabinet juridique Thomson Rogers, à Toronto, il est parmi plus de 100 Canadiens visant à obtenir réparation auprès de Boehringer Ingelheim. Comme beaucoup de patients de Parkinson qui ont souffert de comportement compulsif destructrice après avoir pris Mirapex, Harrison n'a jamais reçu d'avis ou avertissement de Santé Canada. enquête W5s a constaté que le gouvernement fédéral a été alerté de problèmes avec Mirapex dès 2003. Un examen de Santé Canada des rapports d'effets indésirables des médicaments et des notes internes ont montré que le ministère fédéral connaissait les troubles du contrôle des impulsions, comme hors de contrôle de jeu ou la dépendance sexuelle, associée à Mirapex, mais a émis aucun avis public aux patients canadiens. dit Harrison. Environ un tiers des rapports sur les effets indésirables liés à des problèmes Mirapex détaillés avec des troubles du contrôle des impulsions. En Novembre 2004, la monographie du produit Mirapex, qui décrit les effets indésirables potentiels, a été modifié au Canada pour indiquer comme un effet secondaire. Toutefois, la correspondance entre Santé Canada et Boehringer Ingelheim, en mai 2005, obtenu par W5, indiquent que, après avoir appris sur les procès en cours contre la société de la drogue dans les fonctionnaires du Canada Santé Canada a demandé des modifications supplémentaires à la monographie de produit pour inclure comme un effet secondaire possible . Ceci fait suite à des modifications antérieures à des avertissements de monographie de produit aux États-Unis. Au cours d'une période de cinq mois W5 a demandé des entrevues avec des fonctionnaires de Santé Canada au plus haut niveau, de rechercher des informations sur les départements actions concernant Mirapex, y compris l'approbation de la drogue pour usage au Canada et les avertissements ultérieurs concernant ses effets secondaires graves. Toutes les demandes ont été refusées. bureau de santé Canadas Relations avec les médias a écrit après W5 a demandé qui, de Santé Canada, est disponible pour une entrevue. Une demande similaire pour une entrevue avec le ministre de la Santé, Leona Aglukkaq, a également été rejetée. Les fonctionnaires de son bureau cité aucune raison seulement que Liens connexes